Quand le nom commun est attribut :

David est berger.

 

Quand le nom commun est apposé :

En 1898, Émile Zola, auteur de l’article “ J’accuse “, est condamné.

 

Quand le nom commun est épithète :

Une visite éclair.

 

Quand le nom commun est employé en apostrophe* :

Garçon, un café !

(*apostrophe : mot ou groupe de mots par lequel le locuteur attire l’attention de son interlocuteur en le désignant)

 

Quand le nom commun est placé après une préposition :

Il aime se promener sans but. (sans but : complément circonstanciel de “se promener”)

 

Dans certaines locutions verbales :

Avoir tort ; demander pardon ; prendre part, etc.

 

Dans les inscriptions, pancartes, étiquettes, annonces, titres, invocations, salutations, etc. :

Maison à vendre
Ecole communale
Prélude en ut mineur de Jean-Sébastien Bach
Ô grand manitou !
Bonjour voisin !

 

Dans les énumérations et coordinations :

Le lait tombe : adieu veau, vache, cochon, couvée. (Jean de La Fontaine, La Laitière et le Pot au lait)

 

Dans les expressions figées :

Il y a anguille sous roche.
Pierre qui roule n’amasse pas mousse. (proverbe)

 

Quand le nom commun se désigne lui-même :

(le mot qui se désigne par lui-même est un autonyme [nom, verbe, adjectif])

Chien est de genre masculin. (chien renvoie au nom lui-même)

 

Quand le nom est un nom propre :

Georges est parti vivre en Espagne.