Le discours est ancré dans la situation d’énonciation.

Il se caractérise par une relation étroite avec la situation d’énonciation.

Il maintient la relation avec la situation d’énonciation.

C’est le mode de communication le plus fréquent.

Il consiste en un énoncé et en une suite d’énoncés.

Il comporte des déictiques, des thèmes subjectifs et/ou des des modalisateurs.

Le locuteur s’adresse à un destinataire à l’écrit ou à l’oral :

• correspondances
• mémoires
• théâtre
• livres de recettes, etc.
• transmettre des informations,
• demander,
• convaincre…

Le discours utilise :

• toutes les personnes grammaticales (dont le je et le tu qui sont des déictiques)
• tous les temps verbaux (à l’exception du passé simple et du passé antérieur) :
• temps principaux : .
• Il représente un usage individuel de la langue, par lequel un individu exprime sa pensée.

des expressions déictiques du type hier, aujourd’hui (pour le temps) là-bas (pour l’espace)

Le récit est coupé de la situation d’énonciation.

Il efface toute indication relative à la situation d’énonciation

Il se comprend donc indépendamment de cette situation d’énonciation.

Il situe les faits dans le temps et dans l’espace indépendamment de la situation d’énonciation

Il présente les faits passés comme des faits objectifs, détachés de toute prise en charge par un locuteur apparent.

Avec l’énonciation historique, le lecteur a le sentiment que les événements se racontent eux-mêmes.

Le récit se mêle souvent, à l’écrit, à des moments de discours, notamment quand le narrateur intervient pour livrer un commentaire subjectif.

Ce type d’énoncé concerne plutôt :

• les énoncés délivrant un savoir scientifique ou moral
• les maximes, les sentences...

Le récit utilise :

• la troisième personne
• principalement : le passé simple, l’imparfait, le conditionnel et leurs formes composées.
• des expressions du type : le 25 décembre, à Bethléem, cette nuit-là.